Louis Le Kim’s paintings are deeply influenced by his explorations of abandoned and active industrial sites—steel mills, electric and nuclear power plants, mines, oil fields—as well as subterranean urban networks, frontlines, archaeological sites, and hostile natural environments such as deserts and volcanic regions. Le Kim transposes these architectural fragments, gathered over the course of his explorations, into monumental and fictional environments set within deserted landscapes. Louis Le Kim’s works provoke a strange kind of vertigo—an attraction to the sublime tinged with unease—reflecting both our thirst for spectacle and our growing fear of collapse.
Les peintures de Louis Le Kim s’inspirent de ses explorations de sites industriels—aciéries, centrales nucléaires, mines et champs pétroliers—de même que de réseaux urbains souterrains, de lignes de front, de sites archéologiques et d’environnements naturels hostiles, comme les déserts et les zones volcaniques. Louis Le Kim transpose ces fragments d'architectures et de paysages, rassemblés au cours de ses voyages, en des espaces fictifs monumentaux aux multiples points de fuite. Ses œuvres provoquent une forme de vertige—une attirance pour le sublime mêlée d’inquiétude—reflet de notre soif de spectacle autant que de notre peur de l’effondrement.





